samedi 14 février 2009
mercredi 4 février 2009
carte postale
Wikipédia
L'encyclopédie en ligne Wikipédia parle un peu de la côte des Deux Amants
http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%B4te_des_Deux-Amants
http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%B4te_des_Deux-Amants
mardi 27 janvier 2009
photos de Michel Chéron
Tableaux de la légende
Voici la représentation des 5 tableaux de la légende des Deux Amants, qui sont exposés à Romilly sur Andelle
http://alain.robert.pagesperso-orange.fr/index_fichiers/page0008.html
Ces tableaux du XIXe siècle étaient exposés à la maison de retraite d’Amfreville Sous les monts jusqu’en 2004. A la vente de cette propriété, les propriétaires, en toute légalité, les avaient emmenés.
Le 11 décembre 2004, ces tableaux se retrouvaient à la salle des ventes de Duclair (76) ou le Commissaire priseur procédait à la vente.
Ayant eu connaissance de cette vente, les élus de la basse vallée de l’Andelle délèguent deux représentants : Yves LANIC, Maire d’Amfreville sous les Monts et Jean BARETTE, du Cercle Philatélique de Pont Saint Pierre. Malgré leurs efforts, les œuvres sont adjugées 26 500€ à un marchand d’arts parisien. Les élus de toute la basse Vallée, prenant peur que ces œuvres partent à l’étranger se mobilisent pour racheter ces tableaux pour 50 000€.
Le titre : « Suite de cinq tableaux Malençon : l’Histoire des deux Amants. »
Paul Malençon, peintre normand, immortalisé au XIXe siècle l’épopée des Deux amants par cinq toiles riches en couleurs de 1m x 1,50 m. Ces toiles placées dans de magnifiques cadres de bois et stuc dorés seront pendant plus d’un siècle accrochées dans les couloirs du Prieuré des Deux Amants (Maison de retraite d’Amfreville sous les monts). Actuellement, ces toiles sont à la Commune de Romilly sur Andelle.
Alain ROBERT.
http://alain.robert.pagesperso-orange.fr/index_fichiers/page0008.html
Ces tableaux du XIXe siècle étaient exposés à la maison de retraite d’Amfreville Sous les monts jusqu’en 2004. A la vente de cette propriété, les propriétaires, en toute légalité, les avaient emmenés.
Le 11 décembre 2004, ces tableaux se retrouvaient à la salle des ventes de Duclair (76) ou le Commissaire priseur procédait à la vente.
Ayant eu connaissance de cette vente, les élus de la basse vallée de l’Andelle délèguent deux représentants : Yves LANIC, Maire d’Amfreville sous les Monts et Jean BARETTE, du Cercle Philatélique de Pont Saint Pierre. Malgré leurs efforts, les œuvres sont adjugées 26 500€ à un marchand d’arts parisien. Les élus de toute la basse Vallée, prenant peur que ces œuvres partent à l’étranger se mobilisent pour racheter ces tableaux pour 50 000€.
Le titre : « Suite de cinq tableaux Malençon : l’Histoire des deux Amants. »
Paul Malençon, peintre normand, immortalisé au XIXe siècle l’épopée des Deux amants par cinq toiles riches en couleurs de 1m x 1,50 m. Ces toiles placées dans de magnifiques cadres de bois et stuc dorés seront pendant plus d’un siècle accrochées dans les couloirs du Prieuré des Deux Amants (Maison de retraite d’Amfreville sous les monts). Actuellement, ces toiles sont à la Commune de Romilly sur Andelle.
Alain ROBERT.
Un lien vers un site qui s'interesse à la légende des Deux Amants:
http://carrech.free.fr/vaud/amants.html
http://carrech.free.fr/vaud/amants.html
lundi 12 janvier 2009
Station d'épuration écologique
2003 Les travaux d'extension
1975 La maison de retraite
vendredi 9 janvier 2009
Abbaye de Fontaine-Guérard
Nappe des Deux Amants
Sophie de Boissieu a créé, à partir des gravures représentant la légende des Deux Amants, une nappe. Vous pouvez la voir sur son site, elle s'appelle BEAUTIRAN.
Chaque motif dessiné sur les toiles de Beautiran raconte une histoire...En général on trouve trois scénettes principales et des motifs qui viennent combler le dessin.
"LA COTE D'AMOUR" ou "LA COTE DES DEUX AMANTS"
"LA COTE D'AMOUR" ou "LA COTE DES DEUX AMANTS"
Il semble que la proximité du couvent et du monastère, les prières communes pour le repos des âmes de nos deux amants, donnèrent aux nonnes et aux moines des idées…L’archevêque de rouen mit fin à ces coquineries, en supprimant le couvent et en le faisant transporter à quelques lieues de là, à Fontaine – Guérard…( vers 1135..)
Voici le lien vers le blog de Sophie de Boissieu, avec l'ensemble des gravures et du texte
rieblogs.typepad.com/beautiran/2004/02/tres_petite_his_1.html
samedi 3 janvier 2009
jeudi 1 janvier 2009
Association Entre Seine et Monts
LES DEUX-AMANTS
Dans l'état actuel, le château dit des Deux-Amants date du XVIIe siècle et abrite une maison de retraite. Il s'agissait, à l'origine, d'un très célèbre prieuré fondé dans la première moitié du XIIe siècle et occupé pendant cinq siècles par les chanoines réguliers de saint Augustin de la congrégation de sainte Geneviève appelés les Génovéfains. En 1250 il est placé sous la protection du pape Innocent IV. En 1591 il est détruit par les Anglais puis dévasté pendant les guerres de religion par la Ligue. Les génovéfains œuvrent pour sa remise en état jusqu'en 1685 (avant d'en être expulsés à la Révolution) et obtenir le résultat que nous connaissons de nos jours. De par sa situation élevée (125 m. de dénivelé) le château bénéficie d'une vue imprenable sur les vallées de la Seine et de l'Andelle et notamment sur les écluses d'Amfreville et le barrage et la base nautique de Poses.
Ce site est surtout devenu célèbre par la légende qui s'y rattache. A la fin du XIIe siècle Marie de France reprend un vieux récit perpétué par la tradition orale qu'elle agrémente et poétise à sa manière. Il était une fois une jouvencelle du nom de Calliste, fille du seigneur de Pîtres, qui avait de nombreux prétendants. Cette situation ne convenait guère à son père qui décida d'organiser une fête dont l'objet principal serait la mise à l'épreuve de tous ces godelureaux. Il s'agissait de gravir le coteau (situé, donc, en contrebas du château) du bas jusqu'en haut en portant la jeune fille dans leurs bras. Le gagnant obtiendrait alors sa main. Cette épreuve quasi irréalisable tant cette côte est épuisante même sans fardeau vit le désistement de tous les prétendants. Tous sauf un : Edmond, le plus amoureux. Courageusement le jeune écuyer prit son amante dans les bras et commença de gravir la colline. Il rassembla ses dernières forces pour terminer l'ascension en compagnie de son pesant fardeau. Terrassé par l'effort, il s'écroula, mort. Profondément choquée, Calliste pleura toutes les larmes de son corps, tant et si bien qu'elle mourut de chagrin à ses côtés. En repentir le seigneur de Pîtres fit construire un prieuré et enterrer les deux amants en un même lieu au sommet de la colline. Voici cette version, telle qu'elle fut contée, un jour, en vieux normand : Cliquer ici.
Dans l'état actuel, le château dit des Deux-Amants date du XVIIe siècle et abrite une maison de retraite. Il s'agissait, à l'origine, d'un très célèbre prieuré fondé dans la première moitié du XIIe siècle et occupé pendant cinq siècles par les chanoines réguliers de saint Augustin de la congrégation de sainte Geneviève appelés les Génovéfains. En 1250 il est placé sous la protection du pape Innocent IV. En 1591 il est détruit par les Anglais puis dévasté pendant les guerres de religion par la Ligue. Les génovéfains œuvrent pour sa remise en état jusqu'en 1685 (avant d'en être expulsés à la Révolution) et obtenir le résultat que nous connaissons de nos jours. De par sa situation élevée (125 m. de dénivelé) le château bénéficie d'une vue imprenable sur les vallées de la Seine et de l'Andelle et notamment sur les écluses d'Amfreville et le barrage et la base nautique de Poses.
Ce site est surtout devenu célèbre par la légende qui s'y rattache. A la fin du XIIe siècle Marie de France reprend un vieux récit perpétué par la tradition orale qu'elle agrémente et poétise à sa manière. Il était une fois une jouvencelle du nom de Calliste, fille du seigneur de Pîtres, qui avait de nombreux prétendants. Cette situation ne convenait guère à son père qui décida d'organiser une fête dont l'objet principal serait la mise à l'épreuve de tous ces godelureaux. Il s'agissait de gravir le coteau (situé, donc, en contrebas du château) du bas jusqu'en haut en portant la jeune fille dans leurs bras. Le gagnant obtiendrait alors sa main. Cette épreuve quasi irréalisable tant cette côte est épuisante même sans fardeau vit le désistement de tous les prétendants. Tous sauf un : Edmond, le plus amoureux. Courageusement le jeune écuyer prit son amante dans les bras et commença de gravir la colline. Il rassembla ses dernières forces pour terminer l'ascension en compagnie de son pesant fardeau. Terrassé par l'effort, il s'écroula, mort. Profondément choquée, Calliste pleura toutes les larmes de son corps, tant et si bien qu'elle mourut de chagrin à ses côtés. En repentir le seigneur de Pîtres fit construire un prieuré et enterrer les deux amants en un même lieu au sommet de la colline. Voici cette version, telle qu'elle fut contée, un jour, en vieux normand : Cliquer ici.
Ceci est un extrait du site de l'Association, concernant les Deux Amants.
Allez voir leur site qui est très complet et passionnant http://entreseineetmonts.free.fr/
lac des deux amants et la côte
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